| La porte Créqui inondée le 3 novembre 1859 au matin L'artiste, en le reportant sur le bois, a omis de retourner ce dessin, qui n'est exact que si on le regarde réfléchi dans une glace. A gauche le talus des Glacis emporté, ainsi que les balustrades de fer, qui bordaient l'avenue extérieure de la porte. Dans le fond le Pont de Pierre (Gravures sur bois de Diodore Rahoult © Bibliothèque municipale de Grenoble, Pd.6)
| |