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| La concertation locale |
Le déferlement d’informations diffusées au sujet des Ruines de Séchilienne a conduit les pouvoirs publics à prendre des mesures visant à diffuser l’information de source officielle.
C’est dans cet objectif que La Commission Locale d’Analyse et d’Information sur le Risque Séchilienne (CLAIRS) a été mise en place en 1994 par le préfet de l’époque, M. Joël GADBIN.
Selon M. Joël GADBIN, la commission CLAIRS doit permettre de "dialoguer et d'échanger des informations sur Séchilienne pour prévenir le risque et faire le point sur les connaissances". |
Dans une optique de transparence absolue sur le risque encouru, la commission CLAIRS s’organise selon une instance partenariale. Elle réunit :
- des représentants de services de l'Etat (Service Interministériel de Défense et de Protection Civile, Direction Départementale des Territoires, Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement, service de Restauration des Terrains en Montagne etc.)
- des représentants du Collège d’experts
- le député de la circonscription
- les collectivités locales
- le conseil général de l’Isère
- les communes directement concernées : Séchilienne et Saint Barthélemy de Séchilienne
- les communes en amont en en aval du site : Notre-Dame-de-Mésage, Jarrie, Saint-Pierre-de-Mésage, Vizille, Montchaboud, Champ-sur-Drac
- des associations et organismes divers : Institut des Risques Majeurs, association pour le désenclavement de l’Oisans, Chambre du Commerce et de l’Industrie de l’Isère etc.
- les industriels des plateformes chimiques de Jarrie et Pont-de-Claix
La commission CLAIRS se réunit de façon régulière en Préfecture : la prochaine se tiendra en juin 2011. |
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