Loin du schéma réductionniste selon lequel nous serions passés d'une société de la fatalité à une société de la sécurité, l'auteur s'attache à mesurer la contribution des images et des discours aux climats anxiogènes. Il montre que la culture du risque se nourrit toujours à des sources symboliques, à plus forte raison quand règne l'idéologie de la précaution et du développement durable, à l'ombre d'une catastrophe écologique annoncée.
Mots clés :
Voir aussi :
[ Ressource électronique ]
2024, 62 p., Lyon : Cerema
[ Ressource électronique ]
Comité d?orientation sur les facteurs sociaux, organisationnels et humains
2024, 101 p.