| CHRONOLOGIE |
11 Juin 1909, séisme de Lambesc près de Salon de Provence, magnitude 6,2.
1935, Charles Richter propose une façon de quantifier les séismes avec l’échelle de Richter. Celle-ci permet de classer les séismes en fonction de l’énergie libérée par la rupture. La magnitude de Richter, désignée aussi par magnitude locale, est déterminée à partir de l’amplitude maximale du tracé enregistré sur un sismographe particulier, situé à 100km de l’épicentre.
22 mai 1960, tremblement de terre au Chili, magnitude 9,5. Il s’agit du plus fort séisme jamais enregistré. La zone de rupture de la faille a atteint plus de 1000 km de long.
25 avril 1962, Séisme de Corrençon. D’une magnitude de 5,3, ce séisme a causé d’importants dégâts sur les communes de Corrençon et Château-Bernard. A l’heure actuelle, ce séisme n’est pas bien expliqué par les scientifiques. Il est en effet situé dans une zone où le réseau Sismalp n’enregistre presque pas d’activité sismique. Cependant, ce réseau, implanté en 1989, ne dispose peut-être tout simplement pas assez de données pour pouvoir déterminer la faille qui a joué.
Juillet 1982, application des règles parasismiques PS69
1985, zonage sismique actuel de la France, basé sur une méthode historico-statistique.
Décembre 1995, application des règles parasismiques PS 92 qui remplacent les PS69
15 juillet 1996, à 2h13 du matin se produisait un séisme de magnitude 4,9 à Epagny, dans le bassin Annécien. Pas de pertes humaines mais plus de 60 millions d’euros de dégâts.
Janvier 98, application des règles parasismiques simplifiées pour les maisons individuelles dites PSMI 92.
Mars 2004, Rapport sur l’application de la réglementation parasismique dans quatre départements français
Novembre 2005, lancement du Plan Séisme pour une durée de 6ans et Publication de la nouvelle carte d’aléa sismique, publiée par le Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable.
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