Le jour d’un accident, d’une crise, les émotions sont démesurées. On a tous une façon de réagir différente aux risques : certains seront dans le déni : « j’ai un 4x4, rien ne l’arrivera, je peux sortir malgré l’inondation » ; d’autres dans la prostration, l’alarmisme : « oh là là, que faire ? » et du coup ils ne font rien ;d’autres encore relèveront de l’optimisme irréaliste, pensant que « ça n’arrive qu’aux autres »… mais en fait non ; la délégation aux autorités est également délétère, car en situation passive par rapport aux autorités, on ne va pas mettre en œuvre de comportement.Tout cela engendre des comportements inadaptés. Il s’agit alors travailler, en amont, pour éviter ces biais et favoriser les bons comportements, ceux qui conduiront les personnes à protéger leur vie avant leurs biens. Et pour cela, on va explorer ce qu’on appelle l’éveil émotionnel, qui va permettre une prise de conscience personnalisée du risque.
Mots clés :
[ Ressource électronique ]
0000, Paris : Ecole des Mines de Paris
[ Ressource électronique ]
2025, Echos de science
[ Ressource électronique ]
0000
[ Ressource électronique ]
2019, Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL
[ Rapport / bilan / guide ]
2023, Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable (CGEDD)