L’accident de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, le 11 mars 2011, a soulevé des interrogations sur la sûreté des installations nucléaires. Un enchaînement de phénomènes naturels (séisme puis raz-de-marée) d’une ampleur exceptionnelle a conduit à un accident majeur en privant l’installation d’alimentation électrique et de source de refroidissement. En quatre jours, l’une des plus grandes centrales nucléaires du monde a été dévastée. Une mobilisation s’est enclenchée aux niveaux international, européen et national pour en tirer les enseignements. Après avoir demandé des évaluations complémentaires de sûreté pour l’ensemble des installations nucléaires françaises, l’ASN a prescrit des moyens matériels et humains pour renforcer la robustesse des installations face à des situations de perte des alimentations électriques et de perte du refroidissement. Quel est l’état d’avancement de ce programme ? Qu’est-ce que le « noyau dur » ? Quelles sont les évolutions en matière de gestion de crise et post-accidentelle ?
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Voir aussi :
[ Brochure / Plaquette d'information ]
Office français de la biodiversité (OFB)
2024, 24 p., Office français de la biodiversité (OFB)
[ Rapport / bilan / guide ]
2024, 88 p.
[ Brochure / Plaquette d'information ]
Centre Européen de Prévention des Risques (CEPRI)
2024, 2 p., Orléans : CEPRI
[ Livre ]
2022, 318 p., Paris : Ecole Nationale Supérieure des Officiers de Sapeurs-Pompiers