1- Les risques naturels sont infinis et imprévisibles, mais l’entreprise doit les intégrer dans ses plans de continuité d’activité (PCA). Comment peut-on passer des signaux faibles aux plans d’actions ?
2- Même si l’exercice peut avoir parfois mauvaise presse en période de sinistre, l’étude statistique des coûts des dommages causés par les inondations sur un territoire permettrait, selon l’étude menée, d’anticiper les enjeux pour les collectivités dans leurs choix d’urbanisation.
3- Si les tremblements de terre résistent toujours aux tentatives de prédiction, média sociaux, smartphones et technologies de communications accélèrent le diagnostic après un fort séisme, améliorent l’information distribuée au public et pourraient même demain contribuer à réduire l’impact humain de ces catastrophes !
4- S’il est, parmi les manifestations naturelles dangereuses, un événement qui paraît difficile à prévoir tant il est soudain, c’est bien l’orage et les coups de foudre qu’il génère. Pourtant, comme dans la science météorologique dans son ensemble, des progrès importants ont été accomplis ces dernières années dans ce domaine aussi.
Ce document est extrait de : Face au Risque
Mots clés :
[ Brochure / Plaquette d'information ]
Office français de la biodiversité (OFB)
2024, 24 p., Office français de la biodiversité (OFB)
[ Rapport / bilan / guide ]
2024, 88 p.
[ Brochure / Plaquette d'information ]
Centre Européen de Prévention des Risques (CEPRI)
2024, 2 p., Orléans : CEPRI
[ Livre ]
2022, 318 p., Paris : Ecole Nationale Supérieure des Officiers de Sapeurs-Pompiers