Information des acquéreurs et locataires d'un bien immobilier (IAL) :
http://www.isere.pref.gouv.fr/Politiques-publiques/Amenagement-du-territoire-construction-logement/IAL-Informations-Acquereur-Locataire
Voir aussi la fiche sur Georisques.gouv.fr :
https://www.georisques.gouv.fr/mes-risques/connaitre-les-risques-pres-de-chez-moi
Type d'événement | Secteur | Date | Photos |
1 | inondation de plaine | La ROMANCHE | 1781, 1784 |
2 | inondation de plaine | La ROMANCHE | 1966 |
3 | crue rapide des rivières | LES CHABERTS, CLOS JOUVIN, La CROIX. | 07/06/2003 |
"Le Plan communal de sauvegarde (PCS) est un document qui existait déjà depuis plusieurs années, mais qui a été révisé en 2023 par Lucille Lanselle, une chargée de mission embauchée par la mairie pour travailler sur le sujet. Cette réunion était destinée aux habitants dans le cadre des Rendez-vous de Jarrie qui se déroulent une fois par an dans chaque grande partie de la commune (Basse-Jarrie, les Chaberts, Charbonneaux, et Haute-Jarrie) et qui permettent aux habitants de poser les questions qui les préoccupent."
"La capitale des Alpes, bâtie à la confluence de l'Isère, de la Romanche et du Drac, a tiré sa richessede multiples industries dans l’hydroélectricité, la papeterie et la chimie.Des activités centenaires qui inquiètent depuis la publication, en septembre 2022, de deux rapports. Ceux-ci révèlent des traces de pollution d’origine chimique dans l'eau potable de l'agglomération : mercure, toluène ou encore chlorates et perchlorates. Pour autant, la justice prend l'affaire au sérieux. Le procureur de la République de Grenoble, saisi de cette affaire par les élus de la métropole, a annoncé l'ouverture de deux enquêtes. Car il reste une autre hypothèse à éclaircir : le transfert d’eau entre deux nappes phréatiques. L'eau de la première (en vert sur la carte), située dans la partie sud de la région grenobloise, où se trouvent les champs de captage, est de bonne qualité. Mais celle de la seconde nappe (en rose), située sur la rive droite du Drac et qui englobe les plus grosses communes de la métropole qui accueillent depuis des décennies les plateformes industrielles de Jarrie et Pont-de-Claix, est complètement polluée."
"France nature environnement (FNE) Isère est revenue, jeudi 30 mars 2023, sur l’étude de zone du sud grenoblois, close fin 2022. FNE Isère rappelle tout d’abord que l’industrie chimique de Jarrie et de Pont-de-Claix se trouve sous le feu des projecteurs « avec la parution de rapports inquiétants sur la qualité des eaux souterraines de la métropole grenobloise ». Une référence notamment aux deux études Antea Group et BRGM, qui ont détecté des traces de polluants (chlorates et perchlorates) dans plusieurs puits de captage alimentant en eau potable les habitants de la métropole grenobloise. L’association déplore qu’il n’y ait « pas de suivi sanitaire » des riverains « malgré des signaux inquiétants ». Elle aborde ainsi l’étude sur les cancers menée en parallèle par Santé publique France dans cette même zone du sud grenoblois – sur la période 2003 – 2013 – et évoquée par la préfecture."
"À la fin du mois de décembre, le Secrétariat permanent pour la prévention des pollutions et des risques dans la région grenobloise (SPPPY) publiait les résultats d’une étude de longue haleine réalisée dans le Sud grenoblois. Après l’étude publiée fin décembre 2022 et les recommandations formulées dans la foulée par l’ARS (Agence régionale de santé), les habitants des zones concernées par des concentrations en dioxines dans les sols plus importantes qu’ailleurs sont en droit de se poser la question. Deux zones où les teneurs en dioxines dans les sols sont les plus élevées : La zone 1 comprend des parcelles situées sur les communes de Basse-Jarrie, Champ-sur-Drac et Pont-de-Claix, autour des deux plateformes chimiques ; et la zone 2 correspond aux parcelles de ces trois communes qui ne sont pas visées dans la zone 1. « Elle s’inscrit dans le cadre du plan national santé environnement numéro 2. Le but était de vérifier, autour de vieux pôles industriels, si finalement il y avait des problèmes ou pas. » Les valeurs de référence sont 40 ng/kg pour les potagers et 100ng/kg pour le résidentiel. D’où la recommandation spécifique aux zones 1 et 2, de « ne pas consommer les produits provenant des animaux élevés sur ces terrains ». Pour les végétaux, la situation est différente. Selon l’ARS, « les études ne montrent pas d’absorption racinaire, la contamination se fait par contact avec la terre ou par les retombées de poussières ». Il est cependant conseillé aux habitants de la zone 1 (les deux secteurs les plus pollués à Jarrie et Pont-de-Claix) « de ne pas consommer les aliments cultivés en pleine terre. »
"À la suite d’une étude menée depuis 2012 dans le sud de la métropole grenobloise, un taux élevé de dioxines a été mesuré dans les sols environnant les plateformes chimiques de deux communes. Des résultats qui ont amené à une série de recommandations sanitaires pour les habitants. L’étude s’est penchée sur l’état des sols et des gaz qu’ils contiennent, des végétaux et de l’air extérieur. Sur l’ensemble du secteur étudié, soit 18 communes, les taux de dioxines, des sous-produits d’un dérivé chloré du phénol, ont été, entre autres, scrutés. Ce composé est issu de la combustion de déchets ou de végétaux. Si leur provenance est due à des pratiques domestiques et industrielles, aucun lien n’a pu être établi avec la présence de certaines usines sur le territoire du sud grenoblois.Il ressort que les taux enregistrés dans la zone étudiée ne sont pas préoccupants, à l’exception de deux zones, “où la qualité des sols est particulièrement dégradée”. Il s’agit du pourtour des plateformes chimiques de Jarrie comme du Pont-de-Claix, respectivement au sud-est et au nord de celles-ci. “De plus, les populations y sont également exposées à des teneurs en polychlorobiphényles contributrices de risques sanitaires”, indique le rapport."
"Lancée fin 2012 pour répondre aux objectifs du deuxième Plan national santé environnement, une étude de zone a été réalisée sur 18 communes du sud de l'agglomération grenobloise. Elle avait pour objectif de savoir si l’état des milieux est compatible avec les usages qui en sont faits. Elle a couvert plusieurs milieux (air, gaz des sols, sols, végétaux) et de nombreux polluants issus des différentes activités humaines dans le secteur (tertiaire, transport, industrie…). Cependant, sur certaines parcelles privées résidentielles à proximité des plateformes de Pont-de-Claix et Jarrie, l'étude fait ressortir la présence de dioxines dans les sols qui nécessite de prendre des recommandations quant à l'usage des sols. Les taux constatés restent cependant dans des limites qui n'emportent aucune mesure d'interdiction. Les terrains où a été relevée la présence de dioxines sont dans une zone d'une trentaine d'hectares, en limite nord de la platefome de Pont-de-Claix et en limite sud-est de celle de Jarrie. Cela concerne 500 à 700 personnes. Sur ces parcelles, des recommandations aux particuliers sont formulées par l'Agence régionale de santé (ARS). Elles concernent l'hygiène individuelle, l'entretien du logement, le potager et l'alimentation, adaptées selon les teneurs observées afin de limiter l'ingestion indirecte de polluants par le sol ou par la production de produits destinés à la consommation humaine. Sur les parcelles les plus exposées, il est notamment recommandé ne pas consommer de produits végétaux ou animaux produits sur place. Des recommandations sont également formulées pour surveiller et limiter les émissions de dioxines (gestion des poussières lors de chantier, surveillance des rejets industriels, couverture des terrains nus)."
"Après l’incident industriel survenu le 10 novembre sur le site de l’usine Arkéma, le maire a répondu aux interrogations des habitants. La question centrale est bien sûr celle du décalage entre l’incident à 8 h 45 et l’alerte confinement (sirène à modulation) déclenchée par la Préfecture à 9 h 20. Le maire n’a pas pu donner de réponse complète à cette question car des démarches sont encore en cours avec la Préfecture Une autre question concernait l’absence de messages d’alerte ou d’information sur les téléphones portables. Le maire a expliqué que ces messages n’ont pas été envoyés car ils auraient créé une grosse confusion par rapport à l’alerte confinement déclenché à 9 h 20. Il a ajouté que tout cela serait revu et amélioré dans le cadre de la révision du Plan communal de sauvegarde (PCS)."
"L’incident industriel survenu à l’usine Arkéma en novembre a causé beaucoup d’inquiétude auprès de la population par son caractère spectaculaire (plusieurs explosions assez fortes et un gros dégagement de fumée) et par des dysfonctionnements observés dans le traitement de l’alerte.Les cinquante questions posées – « Quelles sont les démarches pour aménager une pièce de confinement ? », « Pourquoi n’avons-nous pas reçu de messages d’alerte sur les portables alors que nous sommes inscrits sur la liste ? », « Pourquoi l’alerte de confinement a été déclenchée 35 minutes après les explosions et le nuage de fumée ? » – ont montré qu’il était temps que tout le monde révise le dossier pour se mettre à jour : autorités comme habitants. "
"Après l’incident survenu ce jeudi 10 novembre sur le site de produits chimiques Arkema, à Jarrie en Isère, de nombreux riverains ont fait part de leur inquiétude sur les réseaux sociaux. Dans le bassin grenoblois, huit entreprises présentent des "risques industriels majeurs". Que faire en cas d'incident ? Quels sont les risques ? France 3 Alpes fait le point sur les consignes de sécurité. Le site Lesbonsreflexes.com recense toutes les informations sur les risques industriels majeurs en Auvergne-Rhône-Alpes."
Explosion à Arkema : quels sont les risques majeurs, comment s’informer, comment réagir : ledauphine
"Ce jeudi 10 novembre au matin, une explosion a eu lieu sur la plateforme du site de produits chimiques Arkema. Cette usine de fabrication d’intermédiaires chimiques, classée Seveso "seuil haut", produit notamment de l’eau oxygénée, de l’eau de Javel, du chlorate perchlorate de sodium, du chlore et de la soude. L'explosion provient d'un feu d'origine électrique. 10h00 : Les routes situées à un kilomètre aux alentours du site Arkema sont bloquées. Selon les dernières informations communiquées par la préfecture de l'Isère, l'alerte a été déclenchée à titre préventif et le risque toxique est écarté. Néanmoins, le périmètre de sécurité est toujours en place et il est demandé à la population de rester confinée chez elle. A 10h22, la préfecture de l'Isère communique, l'incident est terminé et aucun blessé n'est à déplorer. "Aucun déversement de produit ou pollution et aucune toxicité n'a été relevée".
Isère : une explosion signalée sur l'usine chimique d’Arkema à Jarrie, les habitants dans un rayon d’un kilomètre confinés : ledauphine
Incident à la plateforme de Jarrie : isere.gouv.fr
Explosion à Jarrie: les précédents incidents à l'usine Arkema : ledauphine
Le wagon SIMOTRA 09/01/2003
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Le wagon SIMOTRA 09/01/2003
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Le wagon SIMOTRA 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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La gare de Jarrie 09/01/2003
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Exercice PPI sur la plate forme chimique de Arkema Jarrie 24/10/2006
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Exercice PPI sur la plate forme chimique de Arkema Jarrie 24/10/2006
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Exercice PPI sur la plate forme chimique de Arkema Jarrie 24/10/2006
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Exercice PPI sur la plate forme chimique de Arkema Jarrie 24/10/2006
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