Depuis plusieurs années, les acteurs publics sont confrontés à une multiplication d’épisodes météorologiques extrêmes, à l’image des tempêtes et des fortes précipitations qui se sont succédées sur nos territoires alpins en janvier 2018, entraînant des crues, des avalanches, des coulées de boue et des glissements de terrain à une fréquence inhabituelle. Alors qu’ils prennent progressivement conscience de la nécessité de s’adapter aux impacts du changement climatique, les acteurs publics se... Suite
Depuis plusieurs années, les acteurs publics sont confrontés à une multiplication d’épisodes météorologiques extrêmes, à l’image des tempêtes et des fortes précipitations qui se sont succédées sur nos territoires alpins en janvier 2018, entraînant des crues, des avalanches, des coulées de boue et des glissements de terrain à une fréquence inhabituelle. Alors qu’ils prennent progressivement conscience de la nécessité de s’adapter aux impacts du changement climatique, les acteurs publics se demandent légitimement s’ils doivent se préparer à l’avenir à faire face plus souvent (sinon régulièrement) à ce type de séquence dommageable ?