Qui s’intéresse à la question des inondations en dehors des quelques reportages vus à la télé sur les sinistrés de Xynthia ou du Var ? Qui s’installe aujourd’hui en zone inondable en toute connaissance de cause ? Pourquoi sous-estimons nous toujours les capacités de ravage de la rivière ?
La question de l’inondation est une question éminemment citoyenne car elle intéresse les politiques publiques et le vivre ensemble : l’aménagement du territoire, l’écologie, la sécurité civile, le social,... Suite
Qui s’intéresse à la question des inondations en dehors des quelques reportages vus à la télé sur les sinistrés de Xynthia ou du Var ? Qui s’installe aujourd’hui en zone inondable en toute connaissance de cause ? Pourquoi sous-estimons nous toujours les capacités de ravage de la rivière ?
La question de l’inondation est une question éminemment citoyenne car elle intéresse les politiques publiques et le vivre ensemble : l’aménagement du territoire, l’écologie, la sécurité civile, le social, etc. Pourtant avant d’y être confronté, peu de personne s’y intéressent réellement. Une fois qu’on l’a vécu, c’est différent…
Nous voulons donc ici donner la parole aux personnes qui ont côtoyé l’indicible, l’inimaginable, et qui ne s’en moquent plus. Pour qu’ils alertent les autres, qu’ils éveillent les consciences, qu'ils nous répètent ce que nous ne voulons pas entendre : "oui cela est possible et il faut s'y préparer".
Cela s’est donc passé à l’Arbresle, dans le Rhône, en 2008. Il y a eu plus de 2 mètres d’eau dans les habitations. C’était la pire crue des 200 dernières années.