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"Des centaines de milliers de tonnes d’eau issues du refroidissement des réacteurs nucléaires endommagés après le séisme et le tsunami de 2011 vont être déversées dans l’océan. Le controversé rejet dans l’océan Pacifique des eaux traitées de la centrale nucléaire de Fukushima devrait commencer jeudi 24 août. Cette eau sera rejetée après un passage dans les systèmes de filtration par absorption dit ALPS (advanced liquid processing system), un processus destiné à réduire la présence des nucléides encore contenus dans l’eau, à l’exception du tritium. Elle sera ensuite diluée pour que le niveau de ce nucléide soit abaissé à un septième des normes fixées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’eau potable. Le projet avait reçu le 6 juillet l’aval de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui juge le plan conforme aux règles de sécurité et à « l’impact radiologique négligeable sur la population et l’environnement ». Or il peine à convaincre au Japon, où les pêcheurs et des habitants de la région de Fukushima s’inquiètent de la réaction que pourrait provoquer cette annonce et du risque de contamination des produits de la mer."
"Le Japon obtient le feu vert de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) pour déverser dans l'océan Pacifique une partie des eaux traitées provenant de la centrale nucléaire de Fukushima dévastée, le 11 mars 2011, par un séisme et un tsunami géant. Et ce, malgré l'opposition de la communauté des pêcheurs de Fukushima et de la Chine. "
"Selon les informations du Dauphiné libéré, un feu s’est déclaré peu avant 10h30. Immédiatement, un dispositif très conséquent a été déclenché avec l’envoi d’une quinzaine d’engins et d’une quarantaine de sapeurs-pompiers afin de prêter mains forts aux premiers intervenants, les équipes d’EDF. Selon les premiers éléments, une bâche a pris feu, pour une raison indéterminée."
" Depuis la destruction partielle, dans la nuit du 5 au 6 juin, du barrage de Kakhovka, centimètre après centimètre, le réservoir se vide. A 18 heures, mercredi 7 juin, il avait déjà perdu 2,8 mètres pour tomber à une hauteur de 14,03 mètres. La centrale de Zaporijia est située sur la rive gauche du fleuve Dniepr, à environ 150 kilomètres en amont de l’ouvrage. Même lorsqu’ils sont à l’arrêt, comme c’est le cas depuis plusieurs mois, ses six réacteurs doivent être refroidis en permanence pour éviter une fusion du cœur, qui pourrait entraîner des rejets radioactifs. En temps normal, de l’eau est pompée dans le réservoir pour alimenter le circuit de refroidissement de l’installation. Mais si le niveau de la retenue d’eau descend au-dessous de 12,7 mètres, les pompes ne pourront plus fonctionner. « Au rythme actuel, ce niveau pourrait être atteint au cours des deux prochains jours », a précisé mercredi soir l’AIEA, dont plusieurs inspecteurs sont présents en permanence sur le site de Zaporijia depuis septembre 2022. Une fois les pompes hors service, d’autres ressources sont toutefois prévues pour assurer le refroidissement : la centrale pourra notamment puiser dans un autre grand bassin situé à proximité du site. Mercredi, le personnel de Zaporijia s’employait à remplir ce réservoir ainsi que d’autres, plus petits, équipés de systèmes d’aspersion, et des canaux adjacents, en utilisant l’eau du réservoir de Kakhovka tant que cela était encore possible. « Une fois pleines, ces réserves suffiront à fournir à la centrale l’eau dont elle a besoin pour refroidir ses six réacteurs ainsi que son combustible usé pendant plusieurs mois », a assuré l’AIEA. En France, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) parle, de son côté, dans une note publiée mercredi, d’une réserve suffisante pour assurer le refroidissement pendant « plusieurs semaines »."
"Le guide Intervention médicale en situation d’urgence nucléaire ou radiologique pratique est un guide pratique destiné en premier lieu aux acteurs de la santé et de la sécurité civile. Il couvre la prise en charge initiale des victimes de situations d’urgence nucléaire ou radiologique, allant de l’exposition accidentelle en milieu professionnel à la situation d’urgence radiologique ou à l’action terroriste."
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