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"Le bilan de l’éruption du volcan Marapi, dans l’ouest de l’Indonésie, a été relevé à vingt-deux morts, après la découverte de neuf nouveaux corps de randonneurs morts, a communiqué Abdul Malik, directeur des secours de la ville de Padang, principale ville à proximité, mardi 5 décembre. Le chef de l’agence indonésienne de volcanologie, Hendra Gunawan, a semblé reprocher lundi aux randonneurs de s’être approchés trop près du cratère, affirmant que l’agence recommandait de s’abstenir de toute activité humaine dans cette zone, et a averti de possibles « impacts graves » pour les victimes dans un rayon de 1 à 1,5 kilomètre du cratère."
"À la suite d’une éruption volcanique survenue au large de l’île Iwoto, à 1 200 kilomètres au sud de Tokyo, une nouvelle île, d’une longueur de 300 mètres, s’est formée, rapporte le quotidien Yomiuri Shimbun, qui relaie une information de l’Agence météorologique du Japon datant du 9 novembre dernier. “De manière intermittente, des colonnes d’eau se sont élevées jusqu’à 100 mètres d’altitude en raison de l’éruption. Les sédiments [qui se sont accumulés autour du cratère] ont formé une île”, explique le journal. La nouvelle île pourrait toutefois être éphémère. En raison de l’érosion due à la mer, “ses contours sont [déjà] en train de changer”"
"Elle pourrait avoir lieu dans quelques heures, quelques jours ou quelques semaines. Ou peut-être pas du tout. Mercredi 15 novembre, l’Office météorologique islandais (Met) estimait cependant que la probabilité d’une éruption sur la péninsule de Reykjanes, dans le sud-ouest du pays, restait « élevée ». En attendant, l’Islande retient son souffle et se prépare. Vendredi, l’état d’urgence a été déclaré et le port de Grindavik, à une soixantaine de kilomètres de la capitale, Reykjavik, a été évacué. Or, en plus des habitations qui se trouvent à proximité, l’éruption pourrait menacer la centrale géothermique de Svartsengi. Celle-ci fournit de l’électricité et du chauffage à 30 000 habitants dans la région de Reykjavik. Elle se trouve juste à côté de la station thermale géothermique Blue Lagoon, qui est une des destinations touristiques les plus populaires d’IslandeEn urgence, le gouvernement islandais a décidé de construire des digues de protection à l’est de la centrale et de la station balnéaire. Mais l’efficacité de ces digues « dépendra non seulement de l’endroit où la fissure volcanique va se produire et de la topographie du terrain, mais également de la durée pendant laquelle la lave va s’écouler », constate M. Tumi Gudmundsson, qui précise que les scientifiques, à ce stade, « ne prévoient pas une grosse éruption ». Pour autant, si elle a lieu, « ce sera la plus grosse catastrophe dans une région volcanique d’Islande depuis 1973 », estime le géophysicien Freysteinn Sigmundsson. "
"La localité portuaire de Grindavik (sud-ouest) a été évacuée tôt samedi après que le déplacement du magma sous la croûte terrestre a provoqué des centaines de séismes, ce qui pourrait être le signe précurseur d'une éruption volcanique. "Nous sommes très inquiets pour toutes les maisons et les infrastructures de la région", a déclaré samedi à l'AFP Vidir Reynisson, responsable de la protection civile et de la gestion des situations d'urgence en Islande. Grindavik, située à environ 40 kilomètres au sud-ouest de Reykjavik, est proche de la centrale géothermique de Svartsengi, principal fournisseur d'électricité et d'eau pour 30 000 habitants de la péninsule de Reykjanes. Elle se trouve également à proximité de la station thermale géothermique Blue Lagoon, une destination touristique populaire qui a fermé temporairement en début de semaine par mesure de précaution. "Le magma se trouve maintenant à une très faible profondeur, nous nous attendons donc à une éruption d'ici quelques heures au plus tôt, mais au moins d'ici quelques jours", a fait savoir Vidir Reynisson. Les séismes et les soulèvements de terrain provoqués par l'intrusion de magma ont déjà endommagé des routes et des bâtiments à Grindavik et dans ses environs."
"« Revivre après la catastrophe » (3/6)En novembre 1985, une coulée de boue provoquée par l’éruption du volcan Nevado del Ruiz emportait la ville d’Armero, tuant 25 000 personnes. Des décennies plus tard, des familles convaincues que leurs enfants ont été confiés à l’adoption n’ont pas perdu l’espoir de les retrouver."
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